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Mardi 13 mai – Étape 4 : Alberobello → Lecce (189 km)

Pour la première étape en Italie, au lendemain d’une journée de repos pour faciliter la transition depuis l’Albanie, le peloton sillonnera les routes ensoleillées des Pouilles. Une étape sans difficulté avec un tracé destiné aux sprinteurs. Des points importants seront à gagner pour le maillot Cyclamen, classement par points. 

Mercredi 14 mai – Étape 5 : Ceglie Messapica → Matera (151 km)

Une étape courte mais piégeuse. Si le relief reste modéré, la fin sinueuse autour de Matera pourrait faire le jeu des puncheurs audacieux. On garde un œil sur les coureurs explosifs… et pourquoi pas un coup de force de Wout Van Aert, toujours en quête de panache.

©Luca Bettini / Photo News

Jeudi 15 mai – Étape 6 : Potenza → Naples (227 km)

Avec le Vésuve en toile de fond, le Giro connaîtra l’une de ses plus longues étapes. Deux ascensions intermédiaires  de 3e et 2e catégorie, ne devraient pas effrayer les trains de sprinteurs, qui auront tout le loisir de s’organiser pour un final rapide dans la baie de Naples. Mads Pedersen (Lidl Trek) connaît très bien l’arrivée avec une victoire sur l’édition 2023.

 Vendredi 16 mai – Étape 7 : Castel di Sangro → Tagliacozzo (168 km)

Premiers frissons pour les favoris à la course au maillot rose ! L’arrivée en altitude, 12 km à 5,5 %, sera le théâtre des premiers mano à mano entre leaders du général. Une montée longue pour faire ressortir les premiers signes de faiblesse. Mais attention, ce n’est que la première semaine d’un long Giro.

© https://www.giroditalia.it/

Samedi 17 mai – Étape 8 : Giulianova → Castelraimondo (197 km)

Place aux audacieux. Dans ce profil accidenté des Apennins, les baroudeurs pourront tenter leur chance, avec de vraies possibilités de réussite. Les leaders qui se remettront de la veille, laisseront peut-être l’échappée aller au bout. Attention, la descente technique avant l’arrivée pourrait faire la différence, entre flair et prise de risques.

Dimanche 18 mai – Étape 9 : Gubbio → Sienne (181 km)

Un parfum de classique pour clôturer la semaine. Les célèbres « Strade Bianche », ces chemins de terre blanche caractéristiques de la Toscane, seront au cœur de cette étape redoutée et piégeuse pour le général: personne n’est à l’abri d’une crevaison sur les mythiques graviers. Wout Van Aert réussira-t-il à briller là où l’attend, cinq ans après sa victoire sur les Strade Bianche?

Catégories :
Cyclisme

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