La Royale Union Saint‑Gilloise, sacrée championne de Belgique 2025, pourrait bien incarner la rampe de lancement idéale vers un avenir européen de haut niveau. Selon les dirigeants, le bilan de cette saison est “l’étape parfaite avant un grand championnat dans un ou deux ans”.
Après une campagne historique : titre de champion pour la première fois en 90 ans, qualification directe en phase de groupes de la Ligue des champions, l’Union confirme sa montée en puissance. Le club bruxellois affiche sa stabilité : sous la direction de Sébastien Pocognoli, régulièrement finaliste, l’équipe conjugue logique analytique et recrutement ciblé, attirant des joueurs comme Promise David, auteur de 24 buts toutes compétitions confondues, ou Franjo Ivanović, auteur de 20 réalisations.
La stratégie du club repose sur un modèle orienté performance durable : budget limité, fusion de talents peu chers mais affamés, et une vision européenne ambitieuse. Le directeur sportif Chris O’Loughlin insiste sur l’efficacité du scouting analytique, une approche pragmatique face aux géants du foot européen.
Objectif désormais clair : asseoir l’Union parmi l’élite continentale. Le club entend capitaliser sur cette dynamique pour viser les huitièmes de finale de la Champions League 2025‑2026, voire plus. Mohammed Fuseini évoque ce rêve qu’il touche du doigt : “jouer dans la vraie Ligue des champions”.
Et vous, pensez-vous que l’Union peut rivaliser avec les géants européens dès 2026 ? Qu’attendez-vous de cette génération dorée ? Réagissez en commentaires !
