Alors que la masse salariale du club explose, découvrez les salaires XXL de ses joueurs. Bienvenue dans la course aux millions à Al Hilal !
Le championnat saoudien brille par ses contrats mirobolants. Al Hilal, club phare de Riyad, ne déroge pas : en 2025, la masse salariale du club approche les 224 millions d’euros annuels. Face à cette cascade de chiffres, quelques révélations interpolent le mythe des salaires astronomiques.
Koulibaly, patron (plus que Neymar)
Alors que le transfert et la présence de Neymar ont défrayé la chronique à son arrivée en 2023, il ne semble finalement plus le mieux payé du club. Selon nos sources actualisées, le défenseur Kalidou Koulibaly perçoit approximativement 34,7 millions d’euros par an, soit 667 308 € par semaine, un niveau rarement atteint par un défenseur. Un chiffre qui le place clairement en tête du classement interne.
Une masse salariale record
Avec un total estimé à 223,9 millions € par saison, Al Hilal frappe un grand coup avant l’officialisation du mercato 2025‑2026. Cela représente 4,3 millions € par semaine, hors primes ou droits commerciaux, une somme stratosphérique pour un club et un championnat en pleine expansion.
Moyenne et extrêmes
Toujours selon les données disponibles, le salaire moyen au club est estimé à 729 000 € par an, avec une fourchette qui va de 100 000 € pour les plus modestes, à 35 millions € annuels pour Koulibaly — soit 2,89 millions € par mois. Une hiérarchie salariale étonnante dans laquelle les stars offensives laissent place aux solides garants défensifs.
Contexte inédit sur le marché
La Ligue saoudienne s’est affranchie des plafonds salariaux européens pour attirer les vedettes mondiales. Toutefois, dévoiler que Koulibaly, et non Neymar, est l’athlète le mieux payé du club illustre une stratégie plus nuancée que prévu : structuration défensive valorisée, loyauté envers des cadres, économie maîtrisée.
On retrouve dans le Top 10 général de la Ligue saoudienne des figures comme Ronaldo, Benzema, Mahrez ou Mané — mais ces salaires dépassent souvent les 500 000 € hebdomadaires. Al Hilal mise donc sur un mix entre gros noms et stabilité interne.
Enjeux & perspectives
Ces salaires gigantesques sont un pari sur la visibilité mondiale, le marché asiatique et une ambition sportive assumée. Mais ils comportent aussi des risques : équilibre budgétaire, performance sur le terrain, et image à long terme.
Selon vous, cette hiérarchie salariale valorisant Koulibaly fait-elle sens pour Al Hilal, ou aurait-il fallu miser plutôt sur un grand nom offensif ? Votez et commentez !