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Ni Coco Gauff (WTA 3), ni Jessica Pegula (WTA 4), ni Madison Keys (WTA 6). C’est bien la n°9 mondiale, Amanda Anisimova, qui représentera les États-Unis en finale à New York. Elle s’est frayée un chemin en dominant une Naomi Osaka retrouvée (6-7, 7-6, 6-3), déjà deux fois sacrée à l’US Open. Après Wimbledon, la joueuse de 22 ans disputera ainsi une deuxième finale de Grand Chelem consécutive.

Un match à couper le souffle

Anisimova n’a rien reçu en cadeau. Osaka, impressionnante par séquences, a pris la première manche au tie-break. La deuxième a de nouveau basculé au jeu décisif après six breaks, mais cette fois l’Américaine a fait la différence. Tout s’est donc joué dans une troisième manche où la finaliste de Wimbledon a pris l’ascendant pour s’imposer 6-3, déclenchant l’euphorie du public new-yorkais.

« Cela signifie énormément pour moi, a déclaré Anisimova. C’est un rêve qui devient réalité d’être en finale de l’US Open. »

Un nouveau cauchemar ?

Une deuxième finale de suite donc pour Anisimova, mais la première reste un mauvais souvenir. À Wimbledon, la Polonaise Iga Świątek l’avait écrasée 6-0, 6-0. Un scénario qu’elle veut à tout prix éviter. Problème : en face se dressera la n°1 mondiale et tenante du titre, Aryna Sabalenka. La Biélorusse a brisé la fête américaine en éliminant Jessica Pegula après un autre marathon en trois sets.

Anisimova peut-elle offrir une grande fête au tennis américain ou Sabalenka mettra-t-elle fin aux espoirs locaux avec un deuxième sacre consécutif à New York ?

Catégories :
Tennis

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