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McLaren est sur le point d’inscrire une nouvelle page dans l’histoire de la Formule 1. Avec encore huit Grands Prix à disputer en 2025, dont celui d’Azerbaïdjan, l’écurie britannique compte déjà 337 points d’avance sur Ferrari au classement des constructeurs.

Une occasion historique

Si McLaren marque à Bakou au moins neuf points de plus que Ferrari, le titre constructeurs sera assuré pour la deuxième année de suite. En triomphant avec sept courses encore à courir, McLaren dépasserait Red Bull, qui avait été sacré deux ans plus tôt avec six Grands Prix d’avance.

Le scénario le plus simple

Le chemin le plus direct vers le sacre ? Un doublé, une performance que McLaren a déjà réalisée à sept reprises cette saison. De quoi sabrer le champagne dès dimanche soir. Mais d’autres scénarios restent possibles : l’essentiel est que Ferrari ne termine pas avec plus de neuf points d’avance, que Mercedes ne marque pas plus de 12 points supplémentaires et que Red Bull ne grappille pas plus de 33 points.

© Alessio De Marco/Photo News

Piastri et Norris, duel interne

En interne, la tension reste palpable. Oscar Piastri devance actuellement son coéquipier Lando Norris de 31 points au classement pilotes. L’Australien insiste qu’après les polémiques de Monza autour des consignes d’équipe, il garde “toute confiance dans ses propres moyens”.

Norris, de son côté, a confié qu’il s’attend à la même loyauté de Piastri si la situation venait à s’inverser. Pour l’instant, le duel reste maîtrisé, mais chacun rêve de s’imposer dans une équipe au sommet.

Retour aux années de gloire

Un deuxième titre consécutif viendrait confirmer la renaissance d’une écurie mythique. McLaren a brillé dans les années 1980 et 1990 avec des légendes comme Ayrton Senna, Alain Prost ou Mika Häkkinen. Sa dernière couronne constructeurs date de 1998 : un souvenir lointain. Aujourd’hui, McLaren a retrouvé son lustre. Sceller un titre dès septembre illustre la domination affichée par l’écurie en 2025.

Tout ou rien à Bakou

À Bakou, la mission est claire : briller une fois de plus et soulever le trophée. Même en cas d’échec, il resterait encore sept occasions pour conclure. Mais s’imposer dans les rues étroites de la capitale azérie, tout en décrochant le titre de meilleure équipe du monde, aurait une valeur hautement symbolique. Ce serait la consécration d’une saison presque parfaite.

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Formule 1

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