Roméo Vermant endossera-t-il le maillot des Diables Rouges contre le Kazakhstan ou le Liechtenstein pour la première fois ? Les chances sont grandes, vu la sélection de Rudi Garcia. L’attaquant du Club Bruges pourra ainsi faire comme son père, Sven, qui avait lui aussi été international. Entre 1995 et 2004, le milieu de terrain du Club et de Schalke 04 avait ainsi accumulé 18 caps. Avec la Belgique, il avait participé à la Coupe du monde 2002, jouant une mi-temps contre la Tunisie.
Les Daerden
Jos Daerden s’est fait un nom comme joueur à Tongres, mais surtout au Standard de Liège. C’est d’ailleurs durant sa période à Liège qu’il est devenu brièvement international avec 5 caps glânées entre 1982 et 1984. En 2002, son fils Koen devenait lui aussi international. A 20 ans, l’ailier gauche était considéré comme un grand espoir du football belge. Malheureusement, il n’a jamais réellement confirmé, mais il a tout de même fait mieux que son papa avec 9 caps et 3 buts.
Les Vandenbergh
Dans les années 80, Erwin Vandenbergh était l’une des plus fines gâchettes du football belge. L’Anversois a inscrit plus de 300 buts dans sa carrière, dont 20 avec les Diables Rouges. Entre 1979 et 1991, il a cumulé 48 caps. Treize ans plus tard, c’est son fils Kevin, lui aussi attaquant, qui a revêtu le maillot belge. Moins prolifique que son père, il n’a totalisé que 13 caps en équipe nationale, pour 3 petits buts.
Les Verheyen
Gert Verheyen fut une figure de proue des Diables Rouges durant les années 90 et le début des années 2000. Entre 1994 et 2002, celui qui évoluait alors au Club Bruges a été cherché 50 caps (10 buts) avec les Diables Rouges et a disputé deux Coupes du monde (1998, 2002) et un Euro (2000). Avant lui, son père Jan avait porté le maillot belge à 33 reprises entre 1965 et 1976. Il était dans le groupe belge à la Coupe du monde 1970, mais n’a pas joué, au contraire de l’Euro 1972 que la Belgique terminera à la troisième place.
